Partir en séjour linguistique à Londres

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A l’heure où les vacances se profilent au loin, comme une lumière au bout du tunnel, se présente à moi l’occasion de vous parler du séjour linguistique effectué par Jules à Londres, l’année dernière.

C’était une véritable aventure familiale, puisque c’était le premier grand départ de Jules, hors de France, sans nous et avec un groupe au sein duquel il ne connaissait personne.

Autant vous dire que cela été une vraie décision conjointe où le choix de l’organisme a eu une place prépondérante.

Je n’aurais confié mon « grand » à personne, sans avoir une totale confiance en la sécurité, l’encadrement, le niveau des cours mais aussi la certitude que Jules allait passer un bon moment.

Nous avons donc décidé de partir sur un format d’une semaine avec l’organisme CLC, j’avais, en effet, été rassurée par le fait qu’ils sont présents sur ce secteur depuis plus de 40 ans et que les avis présents sur internet étaient tous rassurants, si ce n’est dithyrambiques .

Jules, lui, a aimé le fait que le séjour ressemble d’avantage à des vacances qu’à un simple format » cours » et a choisi parmi toutes les formules à thèmes proposées ( escape game, équitation, Harry Potter…) une découverte de Londres à travers ses quartiers et ses monuments.

Avant de partir, il a pu effectuer un « test » en ligne permettant de connaître son niveau afin qu’il participe à une classe lui correspondant et nous avons préparé son départ en bus, depuis Paris.

Soit une semaine sans nous, avec cours le matin, logement dans une famille d’accueil et activités l’après midi (dont plusieurs visites de monuments et une journée « free »)

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Nous avions convenu, avec Jules que nous nous appellerions, tous les jours via Whats App, afin de prendre des nouvelles et que si un problème survenait je viendrais le chercher illico presto; en une semaine j’ai reçu un sms laconique me disant « ça va »…ce qui, si vous n’êtes pas parent d’un ado, signifie qu’il s’est éclaté!

Au retour, j’ai du un peu lui tirer les vers du nez afin d’apprendre qu’il s’était fait des copains et qu’il avait tout apprécié!

Concernant son niveau d’anglais, Jules a toujours excellé dans cette matière donc nous n’avons pas pu constater de réels progrès, en revanche il a gagné une aisance certaine à l’oral qui est indispensable en langue. Pour moi le point le plus positif reste ce grand pas vers l’autonomie qu’il a pu expérimenter alors qu’il est extrêmement réservé, et cela a été un succès incontestable!

A tel point qu’aujourd’hui, il veut recommencer, mais cette fois ci aux Etats Unis (je vais m’évanouir)….à suivre!

J’espère que ce partage d’expérience aura pu vous être utile, si vous envisagez ce type de séjour, sachez que si vous vous posez des questions comme « quel type de séjour etc… » le site est extrêmement bien fait, vous pouvez aussi me faire part de vos interrogations en commentaire.

Je vous embrasse, à très vite

Elisa

4 Comments

  1. Mais quel joli projet !
    A 16 ans, j’ai annoncé à mes parents que je partais trois semaines au Cameroun, et à 18 que je partais un an aux USA. Mais comment ont-il fait pour me laisser partir, et me soutenir ?
    J’ai 10 ans pour me préparer, parce que j’imagine bien qu’avec une famille de globe trotters, mes filles voudront elles aussi découvrir le monde à leur manière.
    Je vous souhaite à tous de jolis voyages !

  2. C’est super de lui donner cette chance! Je me souviens encore de mes nombreux séjours linguistiques et avec l’amour, c’est vraiment le plus beau cadeau que mes parents m’aient fait! A 18 ans, je partais aux Etats-Unis en étant déjà presque bilingue. Merci à eux! Et oui, j’imagine que dans la bouche d’un ado, « ça va » est égal à nirvana All the best to Jules! Bisous

  3. merci pour cet article qui m’éclaire quant au choix que j’ai à faire pour ma fille. La formule de Jules a l’ai top 🙂

  4. J’ai bien ris « Je vais m’évanouir » j’adore ! Je reste persuadée que le meilleur moyen d’apprendre l’anglais est de la parler et de l’entendre parler tous les jours. J’arrive plutôt bien à faire des phrases mais seulement dans ma tête, quand il s’agit de s’exprimer ça devient directement plus difficile (surtout quand mon chéri m’accompagne).

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